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Caleb a toujours eu la chance d'avoir quelqu'un à qui parler, quelqu'un en qui il a totalement confiance. Des amis qui l'écoutaient sans le juger, ça il en était certain. Pourtant, il n'avait jamais réussit à franchir ce cap, ou du moins depuis la trahison de Caroline, avant sa nouvelle vie. C'était pour lui quelque chose d'important dans la mesure où l'on accepte de dire des choses secrètes, qu'on garde jalousement pour soi. Mais il se taisait, enfouissait tout en lui. Faire confiance à nouveau était chose difficile pour le jeune homme et il ré-apprenais à se dévoiler. Encore fallait-il trouver la bonne personne à qui se confier. Caleb, lui pensait l'avoir trouvée, mais il n'était pas sûr qu'elle soit au courant. Il n'avait jamais eu l'occasion de lui dire quoi que ce soit, sa vie étant satisfaisante à son goût. Mais il gardait en mémoire que s'il en avait besoin, c'était à elle qu'il irait confier ces moindres soucis. Cette personne était très différente de lui, pas la même "race", pas la même origine, pas du tout le même caractère. Néanmoins, Caleb avait l'impression qu'ils étaient complémentaires. Plamyr était une modificatrice, lui un vampire. De son côté, il n'avait rien contre eux, en général, néanmoins il avait l'habitude de se sentir supérieur. Elle, elle détestait les vampires, tous autant qu'ils étaient. Tous sauf Caleb. Pour cause, le jeune homme s'était tissé un lien étroit avec elle, un lien spécial qui les unissait parfaitement. Petite poupée fragile aux yeux de Caleb, Plamyr était en quelque sorte sous sa protection officiel. Elle, elle appréciait le jeune homme, tout simplement. Peut être le trouvait-elle attachant et "pas si méchant".

La journée avait été d'un ennuis mortel. Caleb, qui avait pourtant décidé de profiter de sa journée n'avait rien fait d'exceptionnel, à son grand désespoir. Il était à peine sortit de chez lui, avait ensuite lu, regardé ses programmes débiles sur la télévision, avait consulté ses mails trop souvent son goût. Qu'attendait-il au juste ? Il avait beau avoir cherché tout au long de la journée, pas une seule réponse ne lui était venue en tête. Ce soir là, il décida de bouger. Il n'avait pas encore mangé de la journée, alors il se prépara pour aller tater du gibier. Il enfila un vieux pantalons troué à de nombreux endroit et un tee-shirt blanc sale et taché - du sang, de la terre, personne ne le savait vraiment. Il passa aussi devant le mirroir, comme à son habitude, et ébouriffa ses cheveux. Il mit ensuite ses vieilles baskets Converses usées et sortit, en veillant bien à mettre la clé sous le pallaisson. Il brancha ses écouteurs dans ses oreilles et commença à chantonner sur le trajet vers la forêt. Lorsqu'il y arriva, il rangea son Ipod soigneusement dans sa poche et se mit à humer l'air. Il faisait frais pour un soir d'été, il était seul dans les parages. Il sentit alors l'odeur d'un groupe de cerfs. Il se mit en chasse. Au bout d'une demi-heure, Caleb était déjà repu. Il avait tué deux cerfs et avant bu jusqu'à la dernière goute. Il essuya le sang qui avait malencontreusement coulé sur sa joue et constata son état: il avait déchiré profondement son jean et son tee-shirt était encore plus sale qu'à l'origine. Et il n'osait même pas imaginer l'état de ses cheveux ! Il allait rentrer lorsqu'il capta une autre odeur. Une odeur de chien et de parfum: un modificateur ou plutôt une modificatrice. Il se dirigea vers la source de l'odeur et tomba nez à nez avec une grande jeune fille. Ou plutôt nez à dos parce qu'il se trouvait derrière elle. Il ne pouvait que voir ses cheveux noirs de jais. Pourtant il la reconnu immédiatement - grâce à son odeur sans aucun doute. Elle ne semblait pas l'avoir entendu et paraissait un peu perdue. Elle était seule. « Plamyr... qu'est ce que tu fais seule ici ? » chuchota-t-il à son oreille. Elle sursauta, étouffant un cri, et se retourna. Ses beau yeux bleu-verts fixèrent ceux de Caleb intensemment.

Caleb J. Wolf && Palmyr A. Washington

« c'est pour ton bien »
unknown && isabelle.
Maori :p

Parler. Sortir. Voir du monde. Voir le monde. S'amuser. Palmyr rêver de faire ça, le plus simplement du monde et ne pas être repoussante car elle était trop chaude. car sa température était trop haute, trop élevée. Parfois, elle aimerait être normale, une simple humaine qui n'as pas de gêne bizarre, qui ne se transforme pas en louve quand elle est énervée, ou quand elle veut se battre, ou s'éloigner du monde. Être tranquille. Souvent, Palmyr désirait ces deux choses a la fois, sans jamais savoir laquelle vaincra. Alors souvent, elle trouvait le simple milieu. Ce qui remarquable,c 'est que depuis qu'elle est comme elle est, son cercle n'est pas aussi grand qu'a New York. L'apparition de vampire et d'humain dans cette Nouvelle Australie ne changea pas grand chose, enfin vite dit. Et certaines fois, elle a seulement l'impression que cela lui empêche une «respiration saine ». C'est sur que la vie ne fût pas comme a son arrivée, où il n'y avait pas de vampires ou alors, elle ne les voyait pas. Palmyr n'aiment pas la plupart des vampires qu'elle a connu.Enfin tous les vampires qu'elles avait connu pour le moment. Mais, a toutes choses, ces exceptions. Palmyr se rappelle d'un jour, ou elle était tombé sur un vampire, ou plutôt un vampire qui était tombé sur elle, elle ne s'en rappelle plus très bien. Mais ce vampire n'avait pas l'air méchant. Il n'avait non plus l'air offensive, loin de là, avec toutes ses taches de sang sur ses vêtements mais, en tout cas il ne lui voulait avait pas voulu de mal et encore moins aujourd'hui. Oui oui, vous avez bien entendus, encore aujourd'hui. Ce vampire c'était Caleb Jordan Wolf. Elle s'était toujours Palmyr Allhyxir Washington. Un vampire et une louve. Maintenant, les voilà, amis. Il était comme le protecteur et elle la protégée,m'enfin c'était ça ! Le soir, alors qu'elle pensait a tout cela, elle était partie se promener dans la forêt. Palmyr s'était transformée pour courir, pour se défouler, se détendre, se relaxer. Mais là, elle était a peu prés humaine. Elle avança pas a pas dans la forêt, ne faisant aucun bruit et écoutant la nature autour d'elle. Perdue, cependant. Même si, elle ne savait pas très bien la raison de son mal être !

CALEB« Plamyr... qu'est ce que tu fais seule ici ? »

Palmyr venait d'entendre ceci juste a son oreille. Elle n'avait rien vu venir. Par réflexe, elle sursauta, cria et se retourna. Le schéma classique. Elle plongea alors ses yeux dans ceux de son interlocuteur.Caleb. Elle reprenait un rythme cardiaque assez régulier.

PALMYR « Merde ! T'es vraiment con ! »

Dit-elle, en le tapant. Pas très fort. Ses yeux fixaient toujours ceux de celui qui se trouvait en face d'elle.

Désolé c'est nul !

La jeune fille essayait de reprendre un rythme cardiaque à peut prêt normal. Elle prenait de grandes inspirations, fermait les yeux et expirait profondement. Après quelques secondes de concentration, elle rouvrit les yeux. Ils lançaient des éclairs; Caleb ne put s'empêcher d'éclater de rire. Palmyr se mit à taper furieusement du pied, agacée par le comportement de son ami. Dès qu'il eut fini de rire, elle se mit à hurler. « Merde ! T'es vraiment con ! ». Elle le frappa, une petite tape sur le bras, juste pour marquer le coup et sa frayeur. Elle le fixait toujours intensement. Caleb lui adressa un magnifique sourire. « Ne cries pas comme ça ma belle, tu pourrais attirer l'attention sur nous. ». Il caressa d'un geste amical son visage, replaçant une mèche de cheveux folle derrière son oreille au passage. Palmyr se détendit et lui rendit son sourire. Il soupira de soulagement; Palmyr ne faisait jamais la tête longtemps, encore moins si c'était Caleb le sujet de la dispute. Il s'assit lentement dans l'herbe fraîche et humide de la forêt, invita Palmyr à l'imiter en tapant le sol à côté de lui. « Alors, qu'est ce que tu fous ici, toute seule ? Je comptais passer te voir, mais comme tu es ici... ». Caleb avait l'habitude de s'inquièter pour elle. Même si elle était une modificatrice et lui une espèce de monstre assoiffé de sang, ils se considéraient comme frère et soeur. Néanmoins, Palmyr trouvait Caleb parfois trop collant à son goût, même s'il ne pouvait pas s'en empêcher. Il avait en quelque sorte besoin de savoir son amie en sécurité. Palmyr s'était à présent assise à côté du jeune homme. Elle soupira, lasse d'entendre Caleb s'inquiéter. Il sentait déjà la dispute s'annoncer, mais ne put s'empêcher de sourire à pleine dent à son amie. Elle le regarda froidement, prête à répliquer. Elle ouvrit la bouche, la referma presque immédiatement, visiblement furieuse.

pas pire que mon texte uu"

Parfois, Palmyr se demander comment elle faisait pour le supporter, pour ne pas lui foutre une énorme claque dans sa figure, un énorme coup de pied là où ça fait mal ou pouvoir l'envoyer valser a travers son champ visuel. Elle avait beau se demander, mais il n'y avait aucune réponse, elle ne pouvait simplement pas s'imaginer lui faire du mal ! Simplement pas, Palmyr le considère comme son frère, comme un deuxième frère. Mais il arrive que les frères soit chiants par moment, et Caleb y est souvent. Il s'inquiète trop, il est trop protecteur et en rit ! Palmyr avait envie d'un peu plus de liberté. Non pas que cette surprotection ne lui déplaise, mais elle avait impression qu'il ne connaissait pas les limites.

CALEB« Ne cries pas comme ça ma belle, tu pourrais attirer l'attention sur nous. »

PALMYR « Et alors, ça ferait quoi ? »

Même si elle souriait, Palmyr ne pouvait s'empêcher d'être sur la défensive et d'être agressive ! Il l'énervait et d'un côté, elle l'adorait. Inconsciemment, elle savait qu'il attendait une petite dispute comme il les aimait, comme ils les faisaient. Surtout que Palmyr ne fait jamais la tête très longtemps quand il s'agit de Caleb, d'Aaron ou de quelqu'un qu'elle aime particulièrement. Caleb, après lui avoir replacer une mèche folle derrière son oreille, l'invita a s'asseoir a côté de lui. Ce qu'elle fit avec nonchalance , ainsi qu'avec un visage exprimant toujours sa fureur.

CALEB « Alors, qu'est ce que tu fous ici, toute seule ? Je comptais passer te voir, mais comme tu es ici... »

PALMYR « Réfléchir. Prendre l'air. Sortir. J'avais besoin de me dégourdir les jambes et m'aérer les idées en fait. Toi, alors ? »

Palmyr lui répondit comme si de rien n'était, même si en son for intérieur, elle bouillonnait comme de la lave en fusion. Caleb l'avait compris ça, mais il sourit. Furieuse, elle voulut répliquer, cela avait le don de l'agacée mais finalement aucun mot ne pu sortir de sa bouche. Elle referma tout simplement ses mâchoires sur elles-même, presque véxée.

désolé nul ><